Personnage historique d’Ici tout commence, diffusé tous les jours de la semaine à 18h55, Catherine Marchal, alias Claire Guinot, fait de drôles de confidences sur son avenir dans la série !
Dans les tabliers la cheffe Claire Guinot depuis le lancement d’Ici tout commence en novembre 2020, Catherine Marchal s’est confiée sur l’évolution de son personnage dans les semaines et les mois à venir. Un entretien à retrouver dans le podcast Dhombres et de Lumières, après le succès de Brocéliande, série dans laquelle elle portait le masque de la meurtrière. Quel avenir pour l’une des figures historiques de l’Institut Auguste Armand ? Sa réponse est assez… inattendue !
Exclu. « J’ai manipulé les auteurs à leur insu ! » Catherine Marchal se confie sur l’avenir de son personnage dans Ici tout commence
« Plus je vieillis moins je me projette ! » nous lance-t-elle dans un premier temps. « Mais, à court terme, ce qui me plait maintenant dans le personnage, c’est que les auteurs lui ont donné des couleurs que, moi-même, inconsciemment, je leur ai inspirées. Tout le monde sait que je suis une grande manipulatrice ! », plaisante celle qui jouait Armelle Kermabon dans Brocéliande au côté de Nolwenn Leroy. « Je les ai manipulés à leur insu – s’ils écoutent le podcast, ils vont se dire : » Mon dieu mais qu’est-ce qu’elle a fait !? » – et, du coup, le rôle est devenu beaucoup plus léger et beaucoup plus drôle. À l’avenir, je pense que Claire va aller de plus en plus vers la comédie. » Un registre qu’elle a embrassé avec enthousiasme, en acceptant de reprendre le rôle de Josiane Balasko dans sa pièce Un grand cri d’amour, qu’elle joue actuellement en tournée en compagnie d’Alexandre Brasseur. Mais, avec quatre-vingt-cinq représentations prévues dans toute la France, sa présence sur le tournage d’Ici tout commence va forcément s’en ressentir. « Je ne pense pas avoir de grosses arches cette année, mais c’est la chance d’être dans une série chorale, Claire sera toujours présente, bien sûr ! »
Catherine Marchal : « Sous mes airs de ‘je fais la gueule en permanence…’ je suis une rigolote !«
Ainsi, Catherine Marchal confie dans cet entretien son amour pour la comédie, malgré certains rôles qui ont façonné son image et marqué le grand public, comme dans 36 Quai des Orfèvres ou Borderline, réalisés par le père de ses enfants, Olivier Marchal : « Sous mes airs de « je fais la gueule en permanence », ça fait un moment que je le dis et que je m’agite en ce sens ! », s’amuse-t-elle. « Au théâtre, j’ai démarré par le répertoire classique, mais, très vite, j’ai fait du café-théâtre. J’ai toujours eu ça en moi. Après, le fait d’avoir émergé avec des rôles dramatiques, c’est l’image qui est restée collée. Mais, quand j’étais petite, j’étais un petit clown ! Mes parents me faisaient réciter des poèmes ou des blagues que je ne comprenais pas toujours, mais qui faisaient rire tout le monde ! (…) Et, dans ma chambre, j’écoutais les sketches de Coluche sur des 45 tours pour les apprendre par coeur… ».